(première présentation: proposition pour le journal)
"L'OIJR a pour but de réveiller les consciences et de créer la contre-information au capitalisme."
Tel était la ligne de conduite du projet OIJR.
Comment ne mieux l'illustrer qu'en réalisant un journal propre au mouvement?
Il pourrais même être le produit de l'alliance avec le CR.
C'est pourquoi je lance l'initiative de faire un journal, d'une dizaine de page, mensuel, que l'on distribuera GRATUITEMENT dans les endroits publics (sorti du RER, devant les cinémas...).
Certes, ce ne sera pas un journal comme "l'Humanité" ou "Rouge", il sera imprimé sur des feuilles A4, agrafées les unes aux autres, mais l'important est le contenu du journal.
Il faudra mettre en place des rubriques tels que "politique", "économie", "société", "international", "culture"... avec une Une, par exemple la présentation de l'OIJR, et une 4e de couverture sur laquelle nous mettrions tracts, publicités pour des mouvements...
Chacun pourra traiter de ce qui lui plaît, dans la rubrique qu'il souhaite; chacun sera libre dans ce qu'il écrit.
Nous devrions faire une réunion (MSN) chaque semaine, à un créneau horaires précis, en fonction des disponibilités des pigistes.
Je fait donc cette proposition, pensant qu'elle est essentielle au projet OIJR, dites moi ce que vous en pensez, et j'espère que nous débattrons bientôt du nom de ce journal.
(deuxième présentation : extrait de l'édito "la haine nous tuera tous")
« L’OIJR a pour but de réveiller les consciences et de créer la contre-information au capitalisme » ; telle est la ligne de conduite du projet OIJR. Comment ne mieux l’illustrer qu’en réalisant un journal propre au mouvement ? C’est pourquoi nous avons lancé l’initiative de rédiger ce journal, l’Insurgé, pour que chaque pigiste puisse choisir de traiter le sujet de son choix, et d’être libre dans ce qu’il écrit ; et ainsi permettre de donner notre avis sur l’actualité et la société. Le journal n’est pas exclusivement réservé aux membres de l’OIJR, mais à tous ceux qui pensent qu’il faut agir, consciencieux que les catastrophes sociales et écologiques s’approchent à grands pas, et qu’il nous faudra lutter, nous, peuple, pour freiner ces fléaux.